Gina Aigner : On s'est "marié" il y a quelques années et on a essayé d'avoir un enfant, qui est malheureusement mort à la suite d'une fausse couche. Nous nous sommes souvent disputés à propos d'enfants car toi tu ne voulais plus en entendre parler et moi j'en voulais. Après l'une de ces dernières, j'ai appris que tu craignais de transmettre une maladie génétique et que tu étais enceinte, sans parler que tu avais une anémie de fer. Tu as fait un malaise et tu es resté pendant quinze jours à l'hôpital. Ensuite, c'était mon tour de passer sur la table d'opération : j'ai fait une rupture d'anévrisme cérébral. Mais j'ai réussi à m'en sortir ! Il y a quelques mois, tu as accouché non pas d'un enfant mais de jumeaux : une fille (Aurore) et un garçon (Hans). Depuis peu, je te trouve... disons... différente : tu me parles de moins en moins et je ne sais pas ce qui se passe ma chérie. Ai-je fait quelque chose de mal ? Avant hier, alors que je devais accueillir Anna pour son premier jour de stage, un homme est venu et t'a menacée avec une arme à feu. Je me suis interposé en prenant le coup de feu puis un deuxième avant de sombrer dans le coma. Te reverrais-je un jour ? Je fais en ce moment tout pour que ce souhait se réalise ma chérie.

Diane Krüger : On s'est rencontré quelques mois après la première disparition (sans explication) de Gina. Je suis tombé raide dingue de toi malgré le fait que je ne me suis pas senti bien. On a vécu les choses intensément avant de rompre. A l'époque, je n'étais pas médecin urgentiste mais chirurgien. Quand j'ai démissionné de mon ancien poste, je n'ai jamais imaginé que je puisse un jour te revoir et que je puisse surtout être le père père de ta fille. Notre relation est devenue plus sereine et plus amicale, tout est fait pour que Marie puisse me voir de temps en temps depuis l'affaire de la nounou empoisonneuse.

Marie Krüger : Quand je t'ai vue pour la première fois, je devais te soigner d'une forte fièvre qui est due à un empoisonnement à l'eau de javelle. C'est grâce à toi que ta mère et moi avons pu mettre fin aux agissements de cette empoisonneuse. Elle a voulu te tuer et elle a échoué. J'ai appris ce jour-là que tu étais ma fille, ma surprise était grande même si je me suis un peu douté de la chose. Le choc était là ! Depuis, j'apprends à te connaître et s'il y a une chose qui m'interpelle par moment, c'est ta fuite dans les toilettes. Ma chérie, tu n'es ni responsable ni coupable de ce que les autres font. Je veux que tu te persuades de ça une fois pour toute.

Anna Köster : Tu es la fille de mon ami et collègue Jens. Tu voulais faire un stage de fin d'études à la base 117 et, comme tu avais du mal à convaincre ton père qui est aussi têtu qu'une mule, tu es venue me voir. Je t'ai conseillé et pris sous mon aile. J'ai appris avec satisfaction et au grand dam de ton père que tu seras sous ma responsabilité. Hélas, le destin en a décidé autrement. Cela dit, j'adore quand tu me rends visite.

Fiche mise à jour le 02.08.2013

Nicolaï Sergueï : Nous nous sommes rencontrés dans l'armée toi et moi en tant que médecins. Nous avons beaucoup sauvé de vie mais ce style de vie ne m'intéressait pas. J'ai donc démissionné pour entrer dans un hôpital civil en tant que chirurgien puis j'ai postulé à la base 117. Cela fait à présent quelques années que j'y suis et un jour tu m'as retrouvé dans un triste état. Tu avais des morceaux de métal dans ton corps et il est désormais plus qu'urgent qu'on te les enlève car tu as fait de fortes réactions allergiques. Sache mon vieux que je ne t'abandonnerai pas et que je ferai tout pour t'aider.

(en attente de savoir si ce personnage va revenir ou non)

Jens Köster : (PV libre)

Karl "Charly" Schumann : On s'est rencontré à l'hôpital berlinois tout à fait par hasard. Je me suis porté volontaire mais en même temps j'ai envisagé une autre vie professionnelle plus passionnante. J'ai souhaité devenir médecin urgentiste. Tu as été admis aux urgences à la suite d'une explosion de ton hélicoptère piégé par un psychopathe complètement timbré. Je t'ai examiné avant de constater que seul ton mental a été touché. Nous avons discuté et sympathisé. Nous nous donnons des nouvelles : famille, profession... puis notre amitié a grandi au point de devenir fraternel. Bien sûr, tu es nettement plus âgé que moi alors je me mis à t'appeler "Grand frère" et toi "Petit frère". Puissions-nous continuer à nous appeler ainsi.

Florian Lenz : Tu travailles avec ma femme en tant qu'infirmier urgentiste. Je m'entends bien avec toi et parfois, quand Karin Thaler ne peut travailler, je la remplace. Je sais que tu es plus qu'efficace et que tu n'hésites pas à prendre des risques calculés pour sauver des vies.

Sean Perris : Je t'ai vu après mon coma. Tu venais d'arriver à Hambourg et à la suite d'une série de discussions, tu m'as indiqué que tu voulais visiter la ville et que tu cherchais quelqu'un pour te guider. Je me suis proposé spontanément. Puis tu m'as parlé d'Anna, sur le coup je n'ai pas très bien compris de quelle Anna tu me parlais avant de réaliser que tu voulais séduire la fille de mon ami et collègue. Je ferai tout pour t'aider mais je te conseille juste une chose avant tout : commence par t'assagir si tu ne veux pas être réduit en miette par Jens.

Fiche mise à jour le 02.08.2013