Marie Krüger : Tu es la fille de ma meilleure amie Diane. Il arrive assez régulièrement que je vienne te garder à la maison ou chez moi. Je sais que tu es très sensible et que tu te caches régulièrement dans les toilettes quand quelque chose te tracasse ou te fait pleurer. Je ne souhaite qu'une seule chose : t'aider Marie et sache que jamais au grand jamais, je ne te jugerai. Parole d'honneur.

Diane Krüger : Tu as été une rivale en athlétisme. Il a fallu des années de compétitions pour voir que nous n'avions rien lâché toi et moi. A la fin nous sommes devenues amies malgré ce que la presse publiait "Anna Köster VS Diane Krüger", "Entre Anna Köster et Diane Krüger : les paris sont ouverts !"... Tu es ensuite partie à Hambourg pour travailler et tu as arrêté la compétition et les entraînements. Pour ma part, j'ai continué l'athlétisme puis ayant à mon tour marre de ces vautours qui n'ont rien d'autre à se mettre sous les dents, j'ai également mis fin à la compétition pour me consacrer à mon baccalauréat que j'ai eu avec mention. J'ai fini par quitter ma ville pour aller à Hambourg où je t'ai retrouvée enceinte, ta petite chérie est née. Une splendide fille est née. Je suis entrée à la faculté de médecine et j'ai continué mon petit bonhomme de chemin tout en te voyant et tout en t'aidant dans la garde de ta fille.

Gina Aigner : On s'est rencontrée assez souvent à la base et on s'est tout de suite appréciée. Tu as souvent été témoin des disputes entre mon père et moi à propos de mon projet professionnel. Tu as même essayé de lui en parlé, en vain et puis un jour il a fini par comprendre et par me laisser en paix. Je te remercie du fonds du cœur pour ton aide.

Karin Thaler : A venir.

Jens Köster : C'est mon père. Hyper protecteur vis-à-vis de moi, il est souvent inquiet pour moi et pendant très longtemps il n'a pas voulu entendre parler de mon projet professionnel. Nous nous sommes souvent disputés que ce soit à la maison, chez moi ou à la base 117. Il a fallu que Gina et Mark lui en parlent et plaident ma cause pour qu'il cesse de devenir un obstacle. Nous continuons à nous parler plus sereinement cette fois-ci et il m'a même proposé son aide, au cas où. Théoriquement, je devais être avec Mark mais le destin en a décidé autrement. Désormais je fais partie de l'équipe n°2 : celle de Gina, de Karin et de Florian.

Mark Harland : C'est à la fois un excellent ami et un proche. Nous nous sommes rencontrés à la base 117. A l'époque, je voulais discuter avec mon père de mon projet professionnel mais cela a vite viré à la dispute. Mark est venu sur ces entrefaites, a attendu que mon père cesse de me parler pour venir à ma rencontre. Il m'a demandé si c'est vraiment ce type de profession que je voulais absolument exercer et, comme ma réponse a été plus qu'affirmative, il m'a pris sous ses ailes. C'est grâce à lui que j'ai la chance de réaliser mon rêve : faire un stage de fin d'études à la base 117. Il a commencé par m'indiquer que cette vocation n'était pas sans risque et il m'a rassurée. Le jour J du début de mon stage, il y a malheureusement eu une tragédie : Mark a grièvement été blessé et s'est retrouvé dans le coma. Je me suis rendue à l'hôpital pour lui apporter soutient et réconfort malgré le fait que je suis moi-même anéantie. Je veux que tu te réveilles Mark et vite.

Florian Lenz : A définir.

Peter Berger : A définir.

Sean Perris : On s'est croisé lors d'une opération de sauvetage qui a bien failli mal tourné. Sur les dix victimes de ce méga accident, trois ont survécu : des enfants qui ont respectivement 2, 5 et 8 ans. Pauvres choux ?! Ils sont si vite devenus orphelins. J'ai fait ce qu'on m'a dit de faire et je suis rentrée à la fois ravie d'avoir pu sauver la fillette de 2 ans et anéantie par les autres décès. Karin, ses collègues et mon père ont essayé de me réconforter sans me faire une seule remarque sur le choix que j'avais fait quand j'avais eu 18 ans. Je suis entrée chez moi et j'ai appelé mes potes pour qu'on aille au café. C'est à cet endroit que je t'ai revu. Je t'ai regardé plus attentivement et je t'ai trouvé plus que mignon, attirant. J'ai essayé d'attirer ton attention mais tu ne m'as pas regardé. Un de mes amis est allé te voir pour discuter de quoi je ne sais pas mais en tout cas tu m'as regardée et là je sens que je suis en train de tomber amoureuse de toi. Tu es plus beau qu'Hercule et Apollon ! Peut-être ressens-tu la même chose que moi ? Sinon je vais faire appel à mes amis.