||INFORMATIONS RAPIDES : Papiers Administratif||Prénom : Johan
Nom : Thaler
Âge : 16 ans
Métier : //
Nationalité : Allemand
Personnalité sur l'avatar : Jean Batiste Maunier
Multi compte ? (si oui, vous jouez qui de plus) : oui Michael Ludwitz
Code du règlement: code validé par Admin||Votre Caractère||Un enfant malade fait peur. Quand quelques choses est différent on le cache, on le met de coté. On ne cherche pas à trop s’attacher par peur de souffrir par la suite. La peur de la différence. Mais la question peut être poser. Laquelle? En quoi la différence peut elle effrayer? Personne n’est assez franc pour dire le fond de sa pensée. Pour Johan sa maladie sa différence l’a privé de sa famille. De l’amour de sa mère. Il est peut être temps de raconter l’histoire par le début. Cette histoire là commence il y a 16 ans en Allemagne. Le jour de la naissance de Johan Thaler. C’était en printemps. Deux jours après sa naissance ses parents apprirent que leur enfant ne pourra jamais parler car ses cordes vocales ne se sont pas développer normalement. Comme si cela ne suffisait pas ils apprirent également que leur bébé était atteint de leucémie. Une maladie qui détruit toute les défense immunitaire et qui créé de grand déficit au niveau de hémoglobine. Ses parents décidèrent de le confier à une famille d’accueille en pologne. Johan vécut ces première années entre hôpital et maison. Il apprit a communiquer avec ses mains et aussi avec l’écriture ne pouvant pas parler de façon oral. Il commença à écrire à sa mère biologique qui avait laisser une adresse en Allemagne. Par ces correspondances épistolaire il apprit l’identité de sa mère. Elle s’appelle Alice Simonis. Il appris également l’existence d’une grande sœur du prénom de Karin Thaler habitant à Hambourg et de deux autres sœurs. Elles ignorent tout de lui. Un jour il n’y eut plus aucune lettre. Johan est âgé de 16 ans. Sa mère de cœur celle qui s’occupait de lui depuis sa naissance tomba malade et trouva la mort quelques temps après. Johan en fut anéanti. Il se retrouve tout seul avec sa leucémie et son handicap il est maigre et assez grand. Les services sociaux le placèrent dans un foyer. Notre cher Johan décida d’aller en Allemagne tout seul comme un adulte et de comprendre pourquoi. Après avoir fugué et avoir fait du stop le voici à Hambourg ayant pour seule adresse celle d’une dénommé Karin Thaler.
Son historie, sa vie va continuer ici. Comment? Il l’ignore encore.
ll Et toi en vrai? ll → pseudo : Miko
→ Prénom : //
→ âge : 21
→ fréquence de connexion : 7 /7
→ comment as-tu atterris ici ? J’y suis déjà
→ n'est-il pas canon ? Oh que oui
→ pourquoi cet avatars et pas un autre ? Car il colle bien avec mon personnage
→ 1 exemple de RP :
- Spoiler:
« la vie est comme un fil sur lequel nous devons jouer au somnambule jusqu’au moment où il cassera »
Toute vie est précieuse, Chaque être vivant possède une histoire. Il n’existe pas de petites histoires. La vie est comme un défi. On, vit jour après jour et année après année et cela malgré toutes les péripéties qui viennent nous agresser. Il existe des personnes plus touchées que d’autres. Michael fait partit des personnes pour qui la vie se résume à une aventure, et aussi à un bonheur. Il avait tout en lui pour faire un excellent médecin en Allemagne dans une base de secours. L’Allemagne… Un pays où se trouve ses racines. Quand on cherche à déraciner un arbre celui ci meurt à petit feu et tôt ou tard réclame à revenir à la source de toute chose. Michael n’est pas du genre à parler trop de son passé donc nous allons respecter cette volonté qui lui tient à cœur. En revanche, il est d’accord pour parler de ses deux vies. Oui vous avez bien entendu Michael à deux vies. Dans sa première vie qui remonte déjà à quelques années il travaillait à Medicopter 117 il avait connut un divorce avec sa première femme et des gardes alternés auprès de son fils Dirk. Aujourd’hui il doit bien avoir grandit. Dans sa première vie Michael a aussi eu un deuxième amour du prénom de Karin Thaler. Ils auraient put vivre une aventure extraordinaire et être encore ensemble mais la vie en a décidé autrement. Michael ne pourra jamais oublier ce jour où sa vie bascula. Ce jour où il a été témoin d’un meurtre commis par la mafia russe et où il récupéra une cassette vidéo étant la preuve de ce meurtre. Un témoin gênant, on cherche à le supprimer à tout prix. Le FBI s’en mêla et mit Michael sous protection. Il fut obligé de quitter l’Allemagne se faisant passer pour mort. Son refuge? Il le trouva aux états Unis dans un hôpital universitaire où il devient titulaire et enseignant.
« Le Seul Fait d’être en vie rend la vie plus acceptable que la mort »
La mort fait peur. Elle est souvent personnifiée comme une grande silhouette emmaillotée dans une longue cape noire avec dans la main droite une grande faucheuse prête à venir nous trancher la tête le moment choisi. Quand on se fait passer pour mort une partie de nous meure vraiment. Notre deuxième vie devient un nouveau but et nous apprend à l’accepter. Souvent Michael à ressenti le besoin de revenir en Allemagne. Le FBI s’y est opposé. Normal vu les circonstances. Il faut cependant bien voir que quand Michael décide quelques choses rien ni personne ne peut le faire reculer. L’hôpital dans lequel il travaillait fut le lieu d’une fusillade engendré par un patient emplit de haine et de vengeance. Michael était aux premières loges. Il fut dans les premiers à être servit. Quand on est près de la mort on voit notre vie défilé. Michael peut le confirmer. Après avoir reçut une balle dans le thorax et une autre dans l’épaule rien ne pouvait laisser croire qu’il s’en sortirait. Et pourtant…
Frôler la mort permet de faire un bilan de notre vie. Il existe des blessures qui ne se referme jamais. En utilisant les bons mots Michael obtint l’autorisation de revenir à Hambourg sous une fausse identité. Pour les papiers administratifs c’est Michael Call et non Michael Ludwitz.
Le retour aux sources c’est maintenant….
Quand il fait nuit tout les chats sont gris. Les rues d’Hambourg paraissent bien silencieuse à cette heure ci. Michael erre tel un chat errant sans but avec pour seul bagage un vieux paletot et un sac de voyage en bandoulière. La douleur est omnis présente. Elle est là mais sans être vraiment là. Michael sait très bien qu’avec les blessures par balle il ne faut pas plaisanter il sait très bien tout ça. Mais retourner dans un hôpital c’est la pire chose qu’il puisse faire. Le voilà de retour à Hambourg sans ces pot de colle d’agent du FBI alors autant se faire discret un maximum. Michael ressent bientôt le besoins de faire une pause, ses mains resserrer plus ou moins sur son thorax il se laisse aller contre des bennes à poubelle. Il allongea ses jambes et c’est dans cette position qu’il commença à somnoler.